On a testé le @restaurantleparc ce midi. Insitution de Boulogne Nord depuis 1948, j’étais curieux de voir ce qu’il en était.
Le résultat est mitigé …côté accueil, heureusement que nous sommes arrivés tôt. Plusieurs personnes après nous se sont faites accueillir puis éconduire de manière plutôt abrupte car terrasse complète et service débordé.
En gros, si vous n’êtes pas du quartier et pas un habitué, ne vous attendez pas à une expérience client exceptionnelle. Dommage pour un dimanche midi en famille dans un quartier où il y a peu d’autres adresses.
Cote assiette, le menu est plutôt complet et diversifié. La viande était très bonne, même si légèrement trop cuite, et les frites maisons généreusement servies et bonnes.
En tant que membre de l’ @asom_oeufmayo, je fais particulièrement attention aux œufs mayos. Leurs cuissons étaient parfaites mais la mayo versée dessus en grande quantité manquait de goût et de tenue.
Pour le dessert, un Mont Blanc moyen servi …après les cafés.
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Conclusion : à 40€ par personne sans faire de folie, je pense qu’il y a d’autres adresses bien mieux à Boulogne. Peut être était ce un mauvais jour, toujours est il que l’on attends une autre expérience lorsque que l’on est dans cette gamme d’établissement.
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Mois : juin 2020
Comptoir de la BD – canal BD
Située dans le passage du 103 bvd Jean Jaurès, en face de la délicieuse boutique de @ceresepiceriefine, le comptoir de la bd / canal bd est depuis de (tres) nombreuses années la boutique de référence pour la bande dessinée et le manga sur @villedeboulognebillancourt.
On y retrouve bien sûr en très bonne place l’auteur boulonnais @vincenteprybd ;-).
Vous y trouverez aussi évidemment mon dernier coup de cœur BD, « les Indes fourbes ».
Mother
Mother Restaurant
103 Boulevard Jean Jaures 92100 Boulogne
Ouverture très attendue par les boulonnais, le restaurant Mother a effectué ses premiers services cette semaine. Avec son emplacement exceptionnel en plein centre ville sur la Grand place, mais également car il vient en remplacement du restaurant El rancho que tous les boulonnais connaissaient, il n’est pas usurpé de dire que nous étions impatient de découvrir le lieu et la carte !
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Aux manettes ici, deux femmes passionnées et impliquées, Charlotte Bernard Escaich et Nathalie Nguyen. Charlotte et Nathalie ont souhaité faire de ce nouvel endroit un lieu de vie, avec une offre différente au cours de la journée. Pensé pour pouvoir accueillir aussi bien des télétravailleurs dans les canapés dans la partie salon, ou pour des dîners entre amis dans les banquette du fond, on sent que l’équipe a fait attention à chaque détails, notamment pour la déco : la présence du portrait de l’arrière Grande mère de Charlotte, la fresque murale à l’extérieur, la magnifique et impressionnante collection de Guide Michelin du début du siècle dernier, etc…..Elles ont vraiment mis d’elles mêmes dans ce lieu, et ça se ressent.
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Pour ses produits, Nathalie essaye de sourcer au maximum en circuit court et localement, et évidemment en prenant en compte les produits de saison. Elles ont passé 6 mois à chercher et trouver des petits producteurs afin d’offrir la meilleur qualité possible de produit.
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Passons à l’assiette maintenant : on a débuté avec une straciatella fumée au foin. Et chose rare, on sentait vraiment le gout du du foin, et la straciatella n’était pas fade comme on peut parfois la trouver. Petit bémol sur le pain (de chez Thierry meunier notre mof boulonnais), qui est coupé en tout petit morceau et manquait de fraîcheur.
Ensuite excellent burger (avec les buns de chez Thierry Meunier aussi) avec la sauce « mother ». Pour ma part, un superbe filet de bœuf d’Aubrac en chateaubriand. Ces deux plats sont accompagnés de frites au saté, ce qui change de ce que l’on peut avoir d’habitude.
Enfin pour finir, un dessert très léger et pas trop sucré avec le Framboise et Praliné, crème de noisettes et palet breton. Mention spéciale pour les desserts : les 4 desserts (en plus de la glace) semblent tous à tomber.
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Verdict : emplacement de rêve, équipe impliquée et passionnée, superbe déco avec différentes ambiances, carte assez courte (trop peut être pour les plats) mais qui semble maîtrisée. Quelques errances au niveau du service, mais c’est le début, c’est compréhensible.
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Finalement la principale difficulté de Mother est liée à sa taille : un restaurant en plein centre ville, avec beaucoup de passage, et avec jusque 150 couverts, cela veut dire qu’il faut réussir à créer une identité très forte et une ambiance « signature » pour réussir à faire que l’on se sente bien, et surtout que l’on veuille revenir le plus souvent possible.
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La vie à Boulbi 